Je vous invite à partager avec moi cette semaine passée à Marrakech pour le nouvel an.
La Koutoubia, le point de repère de la ville.
L'enceinte de la Médina:
La circulation: pauvres piétons, entre les calèches, les taxis, les voitures particulières, les charrettes, les bus et les terribles et innombrables 2 roues!
Les souks:
Les passages secrets:
Le musée de Marrakech:
La Médersa Ben Youssef:
La place Djemaa el Fna, véritable cour des miracles qui se remplit au fur et à mesure que le soir approche (avec pour triste souvenir récent, l'attentat terroriste de 2011, 17 morts):
Les restaurants, on y mange bien, voici celui du réveillon: la Villa Flore
Les toits terrasses:
de celui-ci on aperçoit un riad qui aurait besoin d'un petit coup de frais. Dommage quand on voit les traces du passé qu'il soit dans cet état!
Les mosquées:
Contrairement à d'autres pays:
Les tombeaux saadiens:
Le Palais de la bahia:
Les cigognes:
Ou comment planquer les antennes quand on n'a pas les moyens de les installer dans un faux palmier:
L'Atlas pas loin. Nous irons dans la vallée de l'Ourika une journée et nous retrouverons à escalader la montagne sans équipement (ouf j'avais mis mes chaussures de marche, mais certains voyageurs étaient en espadrille par exemple, personne ne nous ayant détaillé le programme ni parlé d'un équipement particulier). Mais quelle vue de là-haut!
L'humour. Les Marrakéchois aiment beaucoup plaisanter et n'hésitent pas à traduire cet humour sur leurs vitrines:
(en ce qui concerne le recyclage Michelin nous avons aussi vu des sous-vêtements féminins!)
Le logement: le riad Samarine. Oublié de prendre une photo de la chambre à notre arrivée, voici les parties communes.
Très sympa et au coeur des souks. Personnel charmant.
Ce n'est pas fini. Si vous avez envie de continuer le voyage, suite au prochain épisode....
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"Abderhamane, Martin, David
Et si le ciel était vide
Si toutes les balles traçantes
Toutes les armes de poing
Toutes les femmes ignorantes
Ces enfants orphelins
Si ces vies qui chavirent
Ces yeux mouillés
Ce n'était que le vieux plaisir
De zigouiller
Et l'angélus
Ding
Qui résonne
Et si en plus
Ding
Y'a personne" (Souchon/Voulzy)